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Une bien étrange rencontre nocturne (Près de Sidi Hajjaj - Maroc 1967-68)

Compte rendu d’enquête.

Enquêteur : Denis ALARCON (coldevence.com)
Date de l’enquête : 11/12/2011

Il m’a été possible d’avoir accès à ce témoignage grâce à une de mes connaissances sur la région grenobloise. Cet ami ayant organisé une rencontre à son domicile, j’ai pu recueillir de la bouche même d’un des principaux témoins le récit de cet évènement bien singulier, vieux de maintenant plus de quarante ans.

Le récit des faits :

Cet évènement s’est déroulé en juillet de l’année 1967 ou 1968 au Maroc, dans la province de Settat, plus précisément près du village de Sidi Hajjaj, qui est situé à environ une vingtaine de kilomètres à l’Est de Casablanca (Voir carte).





C’est une région à dominante rurale. A cette époque, dans les années soixante, la campagne dans cette région ne dispose que de très peu d’infrastructures : Pas de routes goudronnées, pas d’électricité. La circulation se fait essentiellement à pieds ou à dos d’ânes. A la tombée du jour, les ouvriers agricoles regagnent leurs villages à travers champs, souvent distants de plusieurs kilomètres.



Les témoins, au nombre de 4 personnes, sont tous issus de la même famille, à savoir 3 frères, de respectivement 13, 17 et 19 ans et leur oncle de 26 ans.
Ahmar, qui est notre source d’information, est le plus jeune des quatre.
A l’occasion des vacances scolaires, il a rejoint sa famille pour les aider aux travaux des champs. Il a ainsi passé la journée avec ses frères et son oncle à participer à des travaux agricoles et à la cueillette des fruits.
Il est aux alentours de 21h30. La nuit est tombée. Dans cette région dépourvue de toute pollution lumineuse, le ciel fourmille d’une myriade d’étoiles.
Le petit groupe a plusieurs kilomètres à parcourir à travers la campagne pour regagner le domicile du grand père, à Sidi Hajjaj. Comme le petit groupe coupe à travers champs, loin de tout sentier, il se dirige en se guidant à l’aide des étoiles. Ce soir là, un quartier de lune est visible dans le ciel. Le terrain sur lequel circulent à ce moment là les quatre jeunes gens est caillouteux, et parsemé de buissons et ronces. Ils ne disposent pas de lampes de poche.

Ils vont alors vivre un évènement inattendu qui va les marquer pour le reste de leur vie.

Sortant de la nuit, un personnage d’une apparence bien singulière et d’une stature impressionnante va croiser leur route. Celui-ci circule comme eux à pieds, et passe devant eux à quelques mètres en marchant de la droite vers la gauche (Soit grosso modo d’est en ouest). Il a une apparence humaine, masculine. Le corps est bien proportionné quoique d’une taille estimée à trois mètres ! Il se dégage de cet être une sensation de puissance. L’individu est revêtu d’une espèce de juste-au-corps moulant de couleur assez sombre, avec une culotte bouffante, des épaulettes larges qui réhaussent encore plus une carrure déjà impressionnante et des bottes aux pieds. La culotte et les bottes donnent l’impression du cuir. L’être est nu-tête, et présente une chevelure noire coiffée en arrière. Son visage a été vu de profil et semble avoir des traits humains.
(Voir les deux croquis réalisés par Ahmar).



Premier croquis réalisé par Ahmar


                                                Second croquis réalisé par Ahmar.

Comme on peut le noter sur les deux dessins, le témoin a choisi de représenter le personnage de dos avec la tête positionnée de profil, alors que le lecteur attentif au récit, aura pu noter que cette entité a toujours fixé le regard dans le sens de sa marche. En fait, c'est pour Ahmar une façon concise de partager avec nous la perception qui a été la sienne, dans deux phases différentes de la séquence: Quand le personnage les a croisé (Vue de profil), et quand il s'est éloigné dans la nuit (Vue de dos, permettant de souligner l'imposante carrure).


Suite du récit:

Sa démarche est souple, rythmée et régulière. Il donne l’impression de se diriger vers un endroit précis, et ne détourne pas le regard en direction des témoins en passant à leur proximité.
Ceux-ci sont saisis de stupeur et frayeur, par la soudaineté de cette apparition et son caractère totalement incongru en raz campagne, à la nuit tombée.
Leur première réaction est de prendre leurs jambes à leur cou pour fuir cette présence insolite qui ne semble pourtant pas leur avoir prêté attention. Ahmar craint un instant que son oncle ne jette un caillou en direction du personnage, mais celui-ci, qui a poursuivi sa route imperturbable, finit par disparaître dans l’obscurité au-delà d’une soixantaine de mètres de distance.
La peur étant souvent mauvaise conseillère, il est heureux que l’oncle n’ait pas mis à exécution son geste (il avait ramassé une pierre), car selon Ahmar, il excellait dans la précision du jet de cailloux, et on peut dès lors s’interroger sur ce qu’aurait pu être la réaction du mystérieux personnage s’il avait été atteint par ce genre de projectile.
Par ailleurs, aucune empreinte n’a pu être relevée sur le sol compte tenu de la nature du terrain, et de sa dureté dans ce secteur.
L’être n’a émis aucun son, ni aucune odeur particulière dans son sillage.
Ses mouvements étaient bien coordonnés. La démarche n’a nullement donné l’impression aux témoins qu'ils avaient affaire à un robot.
Ahmar, insiste sur la taille du personnage. Son estimation a été établie en comparaison de sa propre taille. Bien qu’adolescent à l’époque, le jeune Ahmar mesurait déjà lui-même près d’un mètre soixante quinze. C’est cette stature imposante, Trois mètres, au-delà de toute expérience conventionnelle concernant des êtres humains, même considérés comme géants parmi leurs congénères, qui les a mis en panique.

Ahmar insiste sur le fait que le mystérieux personnage n’a, à aucun moment de leur fugitive rencontre, manifesté la moindre attitude agressive envers eux. On ne peut que se perdre en conjecture concernant l’identité de ce personnage, sa provenance et sa destination. Un être humain présentant de telles caractéristiques n’aurait pas pu passer durablement inaperçu dans la région, ou ailleurs. L’accoutrement du personnage apparaît également bien singulier, complètement « décalé »…

Certes, on ne peut pas directement associer cette apparition insolite au phénomène OVNI, bien que dans un certain nombre de cas il ait été rapporté la vision d’êtres de très grandes tailles sortant ou réintégrant des OVNIs posés au sol.
Dans le cas qui nous intéresse, les 4 témoins, ou d’autres personnes vivant dans les environs n’ont pas mentionné l’observation d’OVNI au moment de l’évènement, ou dans les jours précédents ou suivants.
Ahmar nous a néanmoins rapporté que la région au sud de Mohammedia et à l’est de Casablanca, dans laquelle s’est déroulée cette bien étrange rencontre, avait également connu plusieurs disparitions suspectes de personnes. Notre témoin nous rapporte que l’une d’entre elles s’est avérée non définitive, car la « victime » aurait refait surface après trois ans d’absence en racontant à ses proches qui l’avait cru mort un récit d’une très haute étrangeté. Celui-ci n’aurait rien à envier aux récits d’enlèvements rapportés par certains abductés américains convaincus d’avoir séjournés sur ce qui pourrait s’apparenter à une autre planète, mais durant un lapse de temps qui leur a semblé ne pas excéder de quelques heures à quelques jours !!! (Une distorsion du temps qui a pu être objectivement mise en évidence dans certaines affaires ; pensons par exemple au cas du caporal Valdez au Chili)

A titre indicatif, notons la présence dans la banlieue de Casablanca, jusqu’au début des années soixante, d’une base aérienne du Strategic Air Command (SAC) de l'United States Air Force qui fut utilisée comme base de déploiement avancé pour les bombardiers stratégiques B-36 et B-47 du SAC.

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